Un thriller passionnant, addictif.
À
quelques kilomètres d'Oslo, l'hôpital psychiatrique de Gaustad
dresse sa masse sombre parmi les pins enneigés. Appelée sur place
pour un suicide, l'inspectrice Sarah Geringën pressent d'emblée que
rien ne concorde. Le patient 488, ainsi surnommé suivant les
chiffres cicatrisés qu'il porte sur le front, s'est figé dans la
mort, un cri muet aux lèvres – un cri de peur primale. Soumise à
un compte à rebours implacable, Sarah va découvrir une vérité
vertigineuse sur l'une des questions qui hante chacun d'entre nous :
la vie après la mort...
J'ai adoré ce roman. On commence dès les premières lignes par une enquête étrange : un homme meurt dans un hôpital psychiatrique, la police est appelée et à son arrivée on lui fait sentir qu'elle n'est pas la bienvenue.
Nicolas Beuglet nous mène loin avec cette enquête : sur des méthodes, des traitements psychiatrique d'un autre âge, en France et plus encore, à travers les méandres de la recherche. Quand on découvre les tenants et les aboutissants de cette intrigue on est estomaqué, passionné, curieux de comprendre.
Il y a ici un côté infini , un côté recherche sur le cerveau que j'ai adoré. Je ne peux vous en dire plus sans spolier.
Si vous aimez les thrillers qui vont loin dans les méandres de l'esprit humain, ce roman est fait pour vous.